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Mercredi 7 novembre 3 07 /11 /Nov 00:01

Mail avec Monsieur G

Bonsoir Monsieur

 

Désolée pour le retard, même si vous m'avez permis de mettre trois jours pour vous envoyer ce mail je me sens honteuse de ne pas avoir pu le faire plus tôt et j'espère que vous ne m'en tiendrez pas rigueur.

 

Pour la première fois vous m'avez permis de me goder le cul sans m'entendre. Une autre première fois pour moi, je ne m'étais jamais godé le cul sans personne pour me regarder ou m'entendre. Dans cette chambre d'hôtel pas de webcams partout, mon Maître ne peut donc pas me voir. La frustration de n'avoir rien eu dans mon cul pendant une semaine fait que je suis excitée à la seule pensée de pouvoir me remplir même si ce n'est que d'un bout de plastique.

 

Sans ordre je m'aperçois que je ne sais même pas comment me positionner, dois-je rester à genoux ? Me mettre à 4 pattes sur le lit ? M'allonger sur lit ? Fixer un gode au sol et m'empaler dessus ? Où introduire ce gode en restant debout ?

 

Une grande glace murale sur le mur à côté du lit me fait penser que pour une fois je vais me regarder. Je décide donc de me mettre à 4 pattes sur le lit. Ma tête posée contre le matelas et un coussin sous mon ventre pour que mon cul soit plus relevé encore. Je me regarde pendant quelques secondes, j'imagine ce que ma position pourrait provoquer chez vous. Vous donnerait-elle l'envie de me monter immédiatement ou bien ce côté pute en chaleur vous dégoûterait-il de vous vider en moi ? Tant d'hommes m'ont déjà monté comme ça. Vous devez mériter mieux, une fille plus excitante sans doute.

Pourtant cette position est objectivement "bandante", je me sens mouillée de me voir comme ça. Je n'ai jamais pensé que la masturbation était un acte honteux, mais se goder le cul seule comme une conne dans une chambre d'hôtel l'est.

Je me sens humiliée d'en être réduite à ça. Comme souvent l'humiliation ne fait que renforcer mon excitation, je sais que je n'ai pas d'autre choix pour essayer de m'apaiser que mettre ce morceau de plastique en moi.

J'ai l'habitude d'être prise à sec, que ce soit des bites ou des objets pourtant cette fois en mettant ce gode j'ai l'impression que le plastique ne passe pas. Que je vais me déchirer comme jamais. Pourtant l'idée que je ne suis même plus bonne à me faire dilater le cul ne fait que renforcer ma motivation à introduire cette chose en moi. Un faux mouvement (parce qu'il faut bien appeler un chat, un chat) fait que ce gode s'enfonce en moi d'un coup sec et façon violente.

Vous savez à quel point j'aime me faire "casser" le cul, une première pénétration rapide et brutale qui me coupe le souffle est ce que j'aime plus que tout. Sans le vouloir je viens donc de me faire défoncer par un gode. La sensation des couilles d'un homme écrasées sur mon cul me manque cruellement, les insultes qui me seraient destinées dans un moment de ce type encore plus.

Je dis donc la phrase que vous m'imposez quand je me gode le cul et que vous m'entendez: "je suis Jody, je suis une salope et j'aime avoir des godes dans le cul". Je le répète plusieurs fois et quand je reprends enfin le gode en main avec l'intention de le retirer pour de bon. Hélas le frottement de celui-ci fait que je n'ai qu'une envie c'est faire des vas et viens jusqu'à l'orgasme, après tout je n'ai que rarement le droit d'avoir du plaisir donc autant en profiter.

Vous me connaissez je suis une pute qui ne sait pas résister dès qu'on commence à lui ouvrir le cul. Je fais donc des vas et viens lents avec ce gode. Le fait de me voir dans la glace est une sensation étrange. Comme si cette chienne en chaleur en face de moi n'était pas moi. Qu'elle pute ! Je l'ai dit à haute voix sans même le vouloir.

Oui, c'est ça c'est bien ça, je suis une pute, je suis une salope, un vide couilles lamentable ouvert à tous. Cette pensée me fait rougir et m'excite de plus en plus. Je répète ces mots en accélérant le mouvement dans un déchaînement qui m'étonne moi-même. Pute, salope, traînée, vide couille ces mots raisonnent dans ma chambre pour se mêler à mes gémissements, le plaisir monte et les mouvements accélèrent.

La honte aussi, quelle humiliation de se voir comme ça, réduite à ça... Je ne veux plus me voir faire ça, mais le plaisir monte et je ne peux m'arrêter de goder mon cul de plus en plus vite.

J'écrase mon visage sur le matelas et je crie, j'hurle de plaisir. Je jouis, je suis une chienne en chaleur qui prend son pied toute seule comme un vide couilles inutilisé dont plus personne ne voudrait. J'ai eu l'un des orgasmes les plus forts que je me sois donné par le cul. Plus fort et plus humiliant encore que quand des hommes me regardent me goder le cul comme la dernière des putes.

J'ai mis du temps à retrouver mon souffle et j'ai surtout eu une folle envie de recommencer immédiatement tout en ayant envie de jeter ce gode au loin. Le mélange de c'est sentiments fait mon plaisir je le sais. Un plaisir honteux que je partage avec vous tout en ayant un peu peur de votre réaction.

Merci Monsieur, j'ai honte et de l'écrire m'excite follement (vous comprenez peut être maintenant pourquoi j'ai mis autant de temps à trouver le courage de formuler ça).

Jody la dernière des truies qui espère que ce mail saura vous satisfaire un peu.

Par Jody - Publié dans : Avec Monsieur G
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