Suite à un épisode particulièrement décevant dimanche mon Maître a décidé de me punir en ne me permettant plus de me faire plaisir avec des objets en plastique. En déplacement au Maroc pour une durée indeterminée je ne dispose pourtant que d'objets en plastique pour me faire plaisir....
Mon Maître a choisi de me faire mariner 24h avant de m'envoyer un nouvel ordre mardi matin, je dois me faire enculer par un homme par jour. Les seules pénétrations vaginales auxquelles j'ai droit seront bien entendu sans plastique. Je risque donc de me faire enculer souvent pendant que ma chatte restera vide.
Je travaille beaucoup, je suis dans un pays étrangers et je n'ai pas l'habitude de choisir mes partenaires. Autant dire que trouver des hommes pour m'enculer et respecter les ordres de mon Maître sans son aide risque d'être compliqué.
Peut-on croiser un homme dans la rue et lui dire s'il vous plait enculez moi mais ne touchez pas à ma chatte ?
J'ai retourné cette question toute la journée et à part voir l'heure tourner je n'ai pas réussi à faire grand chose. Je suis en plus dans un pays religieux, est-il possible de se faire enculer dans une rue à Marrakech ou à Rabat ?
A 22h en quittant mon travail je n'ai pas plus de solutions. Mon chauffeur semble être une option envisageable mais je risque de perdre mon travail. Est ce pire de perdre mon travail ou perdre mon Maître ?
Mon choix est vite fait...
En montant à l'arrière de la voiture je retire donc ma veste de tailleur et nous démarrons.
- Abdel ?
- Oui, madame.
- Tu sais ce que c'est une salope ?
Il ne répond pas et se contente de me regarder dans le rétroviseur.
- Une salope c'est une femme qui couche avec des tas d'hommes.
- Je sais madame.
- Tu sais aussi ce qu'est un garage à bites ?
- Oui madame
Il ne cesse de me regarder dans le rétroviseur, la voiture roule de moins en moins vite. Il est difficile pour lui de regarder devant et derrière je suppose. Je décide de défaire mon chemisier pour libérer mes mamelles. Ce n'est seulement que quand je suis torse nue avec ma jupe pour seul vêtement que je reprends.
- Tu sais ce qu'est une traînée ?
Il ne peut s'empêcher de toucher quelques secondes son sexe à travers son pantalon. Une grosse bosse s'est formée, il doit avoir une bite énorme. Je m'en étais déjà aperçue mais là je peux enfin regarder...
- Alors ?
- Pardon madame, oui je sais ce qu'est une traînée.
- Bien
Je pince mes tétons pendant qu'il passe encore sa main sur son sexe. Je choisi cet instant pour prendre un ton sec.
- Je doute qu'il soit professionnel de te conduire comme ça devant une femme que tu dois conduire.
Comme si il était logique que la dite femme soit à moitié nue à l'arrière de la voiture...
- Pardon madame, c'est que vous comprenez, je...
- Tais-toi, qui pense tu que je suis ?
- Vous êtes la responsable de...
- Non, je suis une salope, un garage à bites, une traînée. Tu comprends ?
- Oh oui madame.
Le ton de sa voix et le retour de sa main sur sa bite ne permettent aucun doutes sur sa compréhension.
- Tu as déjà enculé une femme ?
- C'est un pêché madame.
- Ce n'est pas la question que j'ai posé.
- Oui madame
- Tu as aimé ça ?
- Oui madame
- Tu veux m'enculer ?
- Aucune femme ne m'a jamais proposé ça
- Moi je te le propose, alors tu veux m'enculer ou pas ?
- Bien sûr madame, tous les hommes du monde voudraient vous enculer. Puis j'encule bien madame, je..
- Ca n'a pas d'importance comment tu encules. En France je suis ce qu'on appelle une chienne, j'ai un Maître qui décide avec qui je couche. Là il a décidé que je dois me faire enculer chaque jour par un homme et je t'ai choisi.
- Maintenant madame ?
- Pas dans la voiture, à l'hôtel.
La voiture marque une accélération de fous, on peut dire qu'il est tout d'un coup pressé d'arriver à cet hôtel.
- Du calme je dois d'abord t'expliquer quelques règles.
Je lui donne les règles de mon Maître et nous arrivons. Je me suis rhabillée et il prend docilement mon ordinateur avant de monter dans ma chambre.
Quand nous arrivons dans le salon attenant à celle-ci il me prend doucement la main pour m'entraîner dans la chambre. Une fois la porte franchie il caresse mes seins à travers mon chemisier quelques secondes, la soie fine semble l'impressionner. Il lâche un "je reviens" avant de disparaître dans la salle de bain pour se laver les mains.
Je me dis qu'il est trop timide pour prendre les choses en mains et que ça ne va peut être pas se passer comme je l'attends.
Quand il revient il semble plus calme et la bosse de son pantalon a encore pris de l'ampleur. Se peut-il que sa queue soit si énorme ?
Je n'ai pas le temps de me poser la question, il commence à défaire mon chemisier, caresse mes seins, fait pointer mes tétons. Il a des mains extrêmement grandes et larges, il les pose calmement sur moi, il semble avoir tout son temps et surtout il plonge son regard dans le mien sans jamais détourner les yeux. Moi qui ne l'ai vu que les yeux baissés devant moi je suis hypnotisée. Je suis presque surprise quand une fois qu'il a retiré mon chemisier il quitte mon regard pour passer derrière moi. Il ouvre doucement la fermeture éclair de ma jupe et la fait tomber au sol.
Je suis maintenant seulement habillée de mes bas et de talons hauts.
Il ne me touche plus, il me laisse là sans qu'il ne se passe rien et je n'ose pas me retourner de peur de faire retomber l'excitation que je ressens. Au bout d'un temps qui m'a paru très long je sens son souffle sur mes épaules. Il se penche vers mon oreille et me lâche en murmurant :
- Une pute rien d'autre.
Son souffle déclenche un frisson dans tout mon corps.
Il caresse tout doucement mes fesses pour s'arrêter sur mon marquage de soumise. Il caresse encore et encore ce tatouage qui annonce que j'appartiens à mon Maître à toutes les personnes qui pourraient vouloir me prendre.
Tout doucement il passe sa grande main sur la raie de mes fesses, il monte et descend dans un silence qui me rend folle.
D'un coup il insère son majeur dans mon petit trou d'un geste calme et ferme. Je ne m'y attendais plus et je sursaute. Il rigole et il me dit :
- Tu es prête
Effectivement je suis trempée et j'ai follement envie de voir et sentir cette bite dont je me demande à quoi elle ressemble depuis des jours.
- A quatre pattes sur le lit.
Avant de m'exécuter j'ouvre le tiroir de la table de nuit qui contient une boite de préservatifs et je me mets dans la position demandée sur le lit. Il se sert dans le tiroir et me regarde faire. Il a visiblement tout son temps et me laisse à quatre pattes sur le lit une bonne minute. Il vient ensuite par le pied du lit, il prend encore le temps de regarder la vue qu'il a sur mon cul et ma chatte qui lui offrent le spectacle indécent de mon intimité offerte.
D'un coup il m'attrape par la taille et me repositionne sur le lit.
Il plaque mes fesses sur la bosse de son pantalon.
Il n'y a plus qu'un mince bout de tissus entre cette bite tellement voulue et mon cul. Il est si dur et je suis totalement dépendante du retrait de ce tissus pour enfin avoir l'objet de mon désir en moi.
Abdel prend encore le temps de bien m'écarter les cuisses, en me disant :
- Une traînée ça aime quand ça fait mal.
Effectivement, si la sodomie est un péché il doit avoir assez d'expérience pour avoir sa place en enfer. comme quoi il ne faut jamais se fier aux yeux baissés d'un employé....
Je l'entends ENFIN ouvrir sa braguette, là encore il prend tout son temps. Le miroir sur le coté du lit me permet de l'observer sans tourner la tête. Sa queue est juste magnifique, à la fois large et longue. Un morceau de choix, sans être intimidante, elle donne juste envie de l'avoir en soi sans plus de cérémonie.
Il enfile le préservatif et pose simplement sa queue contre ma rondelle.
J'ai l'impression que ma rondelle s'ouvre seule, mais là encore il ne se passe rien. Je m'attendais à un coup de queue violent mais rien. Je tends doucement me fesses en direction de sa queue. Je n'obtiens pas plus de réaction de sa part. J'ai l'impression d'être une chienne en chaleur face à un chien castré qui aurait plus envie d'aller manger ou dormir que la monter.
Je n'ose pas demander, je n'ai pas ouvert la bouche depuis que nous sommes dans la chambre. Je me contente de regarder notre reflet dans la chambre. Cette fille en bas et talons hauts à quatre pattes sur un lit avec un homme en costume et à la bite tendue dans son dos.
Le genre de photos bandantes qui ne laissent pas de place à l'imagination sur la suite des événements...
Sauf que la suite ne vient pas, je commence à avoir mal aux bras et aux genoux, je suis trempée l'attente m'a toujours excité au maximum.
Alors que je m'attendais à ce qu'il me prenne il me dit sur un ton neutre et calme :
- Tu ne crois pas que je vais me fatiguer, tu veux ma bite tu t'empales toi-même.
Je recule donc doucement sur la queue qu'il tient avec sa main pour faciliter le passage.
Ma rondelle s'ouvre doucement, sa bite est vraiment large c'est millimètres par millimètres que mon trou l'absorbe. Mais sans poussée de sa part j'arrive à peine à insérer 3 ou 4 cm de sa queue. C'est tellement frustrant pour moi de ne pas arriver à être remplie par cette bite. Je fais des efforts pour essayer d'élargir ma rondelle sans utiliser mes mains et dans une position où mon trou à bites est forcément plus serré.
Sans que je m'y attende Abdel pose une de ses grandes mains sur ma chatte et l'autre sur ma hanche pour m'enfoncer totalement sur sa bite.
L'opération à a peine duré trois secondes et je n'ai pas eu le temps de m'y préparer.
J'ai poussé un hurlement et me suis cabrée quand il m'a plaqué.
Je me retrouve à genoux contre lui, sa bite enfoncée au maximum en moi, sa main sur ma chatte et le souffle court.
Il répète :
- Une traînée ça aime avoir mal.
Entre deux tentatives pour reprendre mon souffle je murmure un oui timide.
Ca semble être un signal pour lui, alors que la brûlure de sa bite se ressent dans toutes mes entrailles sa main massive se met à s'activer de manière frénétique sur ma chatte.
Il me fait aussi mal qu'il me fait du bien et je commence à gémir, alors que je pensais pas ça possible sa main accélère encore. Je n'ai pas eu le temps de retrouver mon souffle que déjà je commence à haleter du plaisir qu'il monte. Aussi instantanément qu'il m'avait empalé il me pousse sur le lit avant de disparaître dans la salle de bain.
Me voilà vide, la chatte qui dégouline, si proche de l'orgasme et le cul ouvert. La frustration que je lis sur mon visage dans le miroir n'est rien par rapport à celle que je ressens. J'ai encore les genoux pliés de la position dans laquelle j'étais et je ressemble à une poupée désarticulée.
- Mets toi sur le dos et écarte les jambes.
Je ne me le fais pas dire 2 fois, j'écarte les jambes du mieux que je peux.
Sur le pas de la porte de la salle de bain Abdel me regarde et lâche :
- Pire qu'une pute
Oui, je suis pire qu'une pute. Dans l'état où je suis je ferai n'importe quoi pour qu'il me prenne. Une chienne en chaleur pourrait moins courir après une bite que moi à cet instant.
Quand il se déplace de l'encadrement de la porte je le vois avec la barre en bois du porte serviette dans la main.
- Pas de plastique juste du bois et du métal.
Il s'est approché de moi en disant ça, il destine donc cette chose d'un diamètre imposant à ma chatte.
- C'est gros, c'est trop gros.
- La ferme, on a juste dit pas de plastique.
En parlant il s'est allongé contre moi, il a encore planté son regard hypnotique dans le mien. Il met la main sur ma chatte, la branle doucement et met son majeur à l'intérieur de ma chatte bien plus délicatement qu'il ne l'avait fait dans mon cul.
- Tu es trempée ça glisser facilement.
Comme la pute que je suis j'ai recommencé presque instantanément à gémir. Vu mon état je ne peux répondre que oui. Il commence à insérer la barre en bois en moi. Elle me remplie totalement et arrive au fond de mon vagin en quelques secondes.
Il se penche contre mon oreille pour murmurer :
-Salope
Et commence à faire bouger ce gode improvisé dans ma chatte, il fait des vas et vient lents son regard plongé dans le mien.
Je gémis, j'aime être remplie, ma chatte ne l'est pas souvent et j'apprécie ce moment. Mon souffle s'accélère au fur et à mesure qu'il me gode plus fort. Je sens le plaisir qui monte en moi, je gémis de plus en plus fort mon vagin se contracte autour du bout de bois, je ne quitte pas le regard d'Abdel comme hors du temps. Je vais jouir, plus qu'une poignée de seconde et j'aurai l'orgasme que j'attends depuis plusieurs jours.
Abdel s'arrête brutalement ses mouvements mais ne retire pas le morceau de bois de ma chatte. Il a encore la main sur celui-ci.
- Encore, continue
Je contracte mon vagin autour du bois pour continuer d'avoir du plaisir. Abdel le sent bouger dans main et le retire aussitôt.
- C'est moi qui décide.
Il se relève, me soulève et empale mon cul sur sa bite en quelques secondes. Une fois encore je suis totalement dilatée. Ses yeux ne quitte pas les miens pendant qu'il fait coulisser mon cul sur sa bite. Je suis comme une poupée gonflable qu'il utiliserait à loisir. Mon corps monte et descend le long de sa bite , mes seins ballottent dans tous les sens, et mes jambes plus ou moins posées sur ses épaules sont aussi inutiles que mes bras. Il fait de moi ce qu'il veut et ce qu'il veut c'est me défoncer le cul à une vitesse hallucinante. Mon cul est totalement défoncé, j'ai mal, j'ai du plaisir, j'ai peur, j'ai confiance, j'ai froid, j'ai chaud mais surtout surtout je ne peux pas lâcher ses yeux.
D'un coup tout s'arrête, j'ai les jambes repliées sur ses épaules, sa bite totalement enfoncée dans mon cul et il se décharge. Il jouit dans un râle, tout aussi calmement qu'il s'est comporté dans la soirée il jouit presque en silence.
Quand il a fini de se vider il me jette à nouveau sur le lit comme une poupée dont on aurait plus l'usage. Il retire le préservatif, referme son pantalon et replace simplement sa cravate.
Il va me laisser là, il sait donc vraiment ce qu'est un garage à bites, une fille qu'on utilise pour se vider mais qui n'a pas de plaisir.
Je reprends mon souffle sur le lit, tout s'est passé si vite....
Pourtant il ne part pas, il continue de me fixer de son regard énigmatique.
- Tu disais que tu étais quoi quand on était dans la voiture ?
- Une pute
- Quoi d'autre ?
- Une salope
- Et ?
- Un garage à bites
- Mets le morceau de bois dans ta chatte, écarte bien les jambes que je vois le spectacle.
Je le fais sans discuter, je vais peut être jouir finalement.
J'insère avec une facilité déconcertante ce morceau de bois et commence des mouvements de vas et vient.
Abdel met sa main sur le morceau de bois.
- J'ai dit met le dans ta chatte pas de le faire bouger. C'est moi qui décide.
Il s'allonge à nouveau à coté de moi et commence à me murmurer à l'oreille.
- Pute.... Salope... Garage à bites... Traînée
Pendant qu'il récite cette litanie qui m'excite il recommence à bouger le morceau de bois en moi. Une fois encore il me gode avec une dextérité incroyable qui fait que je me mets très vite à gémir. Sa litanie dans le creux de mon oreille s'accélère au rythme de sa main. Au fur et mesure que mon plaisir monte il change de langue pour me murmurer des mots en arabe. Je ne comprends pas la langue mais le ton me dis que les insultes continuent de pleuvoir, le fait que ce soit dans une langue que je ne comprends pas ne fait que me chauffer encore plus. Je me tortille de plus en plus autour du morceau de bois, le plaisir m'envahie. Il monte en moi par vague jusqu'à un orgasme qui me fait hurler, je suis moi-même surprise par mon cri.
Abdel de sa voix calme commente cet orgasme :
- La dernière des putes.
Il retire le morceau de bois de ma chatte, et se rend dans la salle de bain. Quand il revient alors que je n'ai pas encore repris mon souffle, je suis au milieu du lit jambe écartée dans une posture indécente encore seulement préoccupée du plaisir incroyable que je viens de prendre. C'est Abdel le chauffeur qui revient. Il a les yeux baissés et son costume est parfaitement remis comme si rien ne venait de se passer.
- Madame veut que je vienne la chercher à quelle heure demain matin ?
C'est une douche froide qui me fait me rendre compte de ma position, j'essaie de masquer mon corps dans le couvre lit. Mais c'est un acte bien vain vu ce qui vient de se passer.
- A 8h
- Bien Madame, si Madame n'a plus besoin de moi je vais rentrer.
- Oui c'est bon.
- Bonne nuit Madame.
- Bonne nuit Abdel
Voilà pour mon premier jour, pour aujourd'hui il me reste encore quelques heures pour trouver la bite du jour. J'espère réussir ce nouveau défi. Je vous tiendrais au courant, n'hésitez pas à me dire ce que vous pensez de ce récit...
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